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Vélo-boulot… crescendo : voici comment vous inciter à sauter le pas

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Seuls 2% des Français vont chaque jour au travail à biclou. Comment faire gonfler ce chiffre ? En généralisant l’indemnité vélo ? En installant douches et vestiaires ? Petit tour d’horizon des solutions déjà existantes.

7 commentaires
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  • Article très intéressant sur le vélo boulot ! L’activité physique régulière est le moyen le plus efficace pour garder la forme, une bonne condition physique et réduire les risques de développer une maladie. Comme l’article le décrit, l’usage du vélo pour se rendre au travail n’est pas sans inconvénients. Se pose alors la question de le garer dans un lieu sécurisé, de la transpiration ou encore de conserver sa motivation sous la pluie ou le froid de l’hiver. Un vélo de bureau, que ce soit au travail ou en home-office est un moyen idéal pour se dépenser, tout en restant confortablement assis chez soi.

    13.11 à 22h31 - Répondre - Alerter
  • Merci pour cet article, qui reprend en effet les principaux points ou l’entreprise peut agir.
    L’information aux salariés est absolument primordiale, incluant les conseils pour l’équipement vélo (il n’y a pas une solution unique qui convienne à toutes et à tous), les tenues cyclistes (pour éviter la transpiration, pour la pluie, pour être vus...), du ’coaching’ pour aider les volontaires à définir leur trajet (c’est un point crucial : si l’on ne peut pas trouver un trajet "apaisé", ce sera difficile de garder la motivation si on se paie une frayeur journalière !), mais aussi des conseils pour le comportement sur la route.
    Ce dernier point est le PLUS important du point de vue de la sécurité, car 99,99% des incidents ou accidents peuvent être anticipés !
    Attention, rouler en vélo en zone urbaine, c’est tout sauf se balader le nez au vent en écoutant les oiseaux... c’est la même chose qu’en scooter ou moto, c’est 100% d’attention, interdit de laisser l’esprit vagabonder sur le planning de la journée ou la popote pour le soir...
    Si vous avez la chance d’avoir un bout du trajet dans un parc, où une belle piste cyclable séparée des flux automobiles, là vous pouvez vous détendre un peu....
    Ceci m’amène au point crucial suivant : les INFRASTRUCTURES urbaines, qui ne sont plus du ressort de l’E bien entendu, mais qui sont absolument primordiales !
    C’est LE point clé qui permettra de faire décoller la pratique cyclopédique, ce n’est pas sorcier, il suffit de regarder nos voisins du nord de l’Europe, il s’y sont mis il y a 40 ans, à l’époque ou Georges Pompidou déclarait "Nous allons adapter la ville à la voiture" !!!
    Aujourd’hui, il nous faut "rendre la ville aux déplacements actifs", et vous verrez la part modale du vélo grimper en flèche jusqu’à 30 ou 40 sans forcer !!
    Il faut juste décider dans quel monde on veut vivre : bruyant, dangereux et pollué ou bien calme, apaisé et convivial ?
    Personnellement j’ai choisi depuis plusieurs années, et vous ?

    24.03 à 13h50 - Répondre - Alerter
  • Pour compléter :

    > Comment faire gonfler ce chiffre ? […] En installant douches et vestiaires ?

    C’est un mythe de croire qu’on sue forcément en se déplaçant à vélo : si 1) c’est globalement plat, 2) on ne force pas et 3) on est pas trop couvert (comme dit dans un autre commentaire), il n’y a aucune raison de suer. Le vélo-urbain, c’est pas le Tour de France.

    Pour la pluie, une alternative à la veste + pantalon de pluie, une cape de pluie éventuellement accompagnée d’une paire de guêtre pour protéger le bas. On risque moins l’effet sauna (vent frais par en dessous) et ça protège bien. Quelques marques :
    www.nooc.fr
    www.spaddeville.com (Fulap)
    www.carradice.co.uk (Pro-route cape)
    www.vaude.com (veste -> poncho)

    2.02 à 14h48 - Répondre - Alerter
    • Je fais du vélo pour aller au boulot depuis déjà plus de 15 ans par tous les temps excepté les jours de neige (28 km aller-retour ; avec 380 m de dénivelé positive !). Après une période VAE, car j’ai eu des problèmes à un genou. Je suis aujourd’hui de nouveau avec un vélo (VTC) relativement léger (12 kg). A partir d’une certaine distance il faut un vélo agréable à pédaler. Sur le dos, je transporte mon pique-nique ainsi que mes vêtements de la journée. A mon travail, j’ai des vêtements de complément (veste…) et de secours.
      Parcours citadin en IDF, d’abord j’ai fait ce choix pour éviter les embouteillages et c’est plus rapide que les transports en commun et fatalement c’est mieux d’un point vue écologique et ça permet de faire plus d’une heure de sport par jour (quel gain de temps et c’est bon pour le moral) ; du coup quel gain de forme physique. Mais aussi, c’est un gain d’argent !
      Alors, oui ça peut être dangereux ! Je porte casque + gilet jaune et j’ai doublé mon éclairage pour l’hiver et la nuit. Je respecte les feux. J’ai eu seulement trois accrochages avec chute et percussion du véhicule mais sans gravité (le vélo s’en est bien remis à chaque fois !). Toujours être très vigilent et très soupçonneux des voitures, des scooters et même des piétons qui ont tendance à traverser n’importe où et n’importe quand et qui nous entendent pas avec leur casque aux oreilles ! Je ne suis pas forcément favorable à la piste cyclable trop étroite sans possibilité de doubler, encombrée de piétons, avec des chicanes pour ralentir… Je préfère la route, je pars le matin de bonne heure avant le rush et le soir je double les voitures embouteillées…. C’est vraiment un plaisir de doubler les voitures et de narguer les automobilistes bloqués… Sinon, il faut s’imposer (pédaler sans trop serrer le trottoir) et se faire voir : s’arrêter en tête au feu (d’ailleurs ça évite de respirer les gaz d’échappement). Plus, les automobilistes seront habitués aux cyclistes, plus il sera sûr de pratiquer le vélo. Maintenant, je ne peux plus m’arrêter.

      3.02 à 13h11 - Répondre - Alerter
  • Oui au vélo pour aller au boulot...je l’ai fait jusqu’en septembre 2011 où je me suis fait projeter à 5 mètres par un étudiant qui ne m’avait pas vu en tournant ; j’avais un casque, mais il a explosé sous le choc et après perte de connaissance, j’ai mis un an à m’en remettre...donc oui, seulement si le parcours est sécurisé : il faut développer les vraies pistes cyclables et porter un gilet jaune ; maintenant, j’ai l’impression de risquer ma vie chaque matin, donc j’y vais en voiture !

    2.02 à 08h18 - Répondre - Alerter
  • J’ai passé deux ans à pédaler 10 km aller, 10 retour pour me rendre sur mon lieu de travail, dont parfois à des horaires décalés (6h du matin ou 23h) - à coups de "wah t’as du courage" de la part de mes collègues. Pourtant l’organisation n’était vraiment pas compliquée !

    J’avais un vélo de ville ordinaire et portais des vêtements ordinaires. Oui, je changeais de t-shirt (dans les toilettes) en arrivant, mais il est facile de ne pas transpirer beaucoup, sur un trajet plat ; il suffit de ne pas se surhabiller (t-shirt + veste imperméable ou manteau en hiver, pas de pull sinon là en effet c’est trop chaud). Oui, quand il pleut vraiment fort, c’est pénible, mais une pluie légère, ce n’est pas insurmontable.

    Parfois en sortant du lit le matin je soupirais à l’idée d’affronter la circulation pendant 45 minutes mais quelle récompense de prendre l’air, de voir les rues de Paris, d’utiliser mes muscles (avant de passer la journée assise devant un ordi) et d’arriver bien réveiller, plutôt que d’être confinée dans le métro !
    Il suffit vraiment de sauter le pas....

    1er.02 à 19h05 - Répondre - Alerter
  • bonjour,

    J’ai une suggestion très pratique : quand on veut se mettre à circuler à vélo tous les jours, on a besoin de se procurer des "accessoires anti-intempérie de secours".
    C’est-à-dire la veste et le pantalon imperméables qu’on peut glisser très facilement au fond de son sac, notamment en les repliant dans leur poche comme des k-way.
    Comme ça je peux partir le matin
    1) en tenue légère,
    2) sans encombrer ma sacoche exagérément,
    3) tout en étant sûre que je ne serai pas prise au dépourvu si la météo fait du vilain plus tard.

    D’expérience ce genre d’accessoire est super-motivant. Et pourtant c’est difficile à trouver, ou du moins à identifier clairement dans le commerce. Mon pantalon qui se replie dans une poche, je l’ai trouvé chez une enseigne de vêtements pour motards. Mon ciré imperméable qui se replie lui aussi dans une poche, c’est à la base un accessoire de running...
    Franchement, pourquoi ça ne figure pas en tête de l’offre des enseignes pour les cyclistes du quotidien ???

    Un équipement adapté c’est juste la base. Et savoir que ça existe et que c’est facile à se procurer, c’est la base n°2. Trop de gens que je rencontre s’imagine que je dois trop galérer quand il pleut. J’essaye de leur expliquer qu’avec un bon équipement, c’est pas plus chiant qu’autre chose. Faites circuler !

    30.01 à 18h15 - Répondre - Alerter
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