publicité
haut
Accueil du site > Actu > Politique > Transition énergétique : ce qu’on perd, ce qui reste
Politique

Transition énergétique : ce qu’on perd, ce qui reste

<-  Retour à l'article

Le texte sur la transition énergétique a enfin émergé des arcanes du gouvernement ce mercredi. Aboutissement de longs mois de discussions, il porte des espoirs et casse des ambitions. Revue en cinq points.

6 commentaires
TOUS LES COMMENTAIRES
COMMENTAIRES SÉLECTIONNÉS
RÉPONSES DE LA RÉDACTION
Trier par : Plus récents | Plus anciens
Affichage : Voir tout | Réduire les discussions
  • Je suis très déçu par toutes ces promesse qui ne sont que des escroqueries intellectuelles.
    En février j’ai fait rénover ma maison isolation comble et changement des fenêtres, on m’avait promis un prêt 0 % PZT puis une prime de quelques centaines d’euros, rien de cela ne m’ a été octroyé pour l’instant. J’ai bien sûr acquitté les factures 9000 € et désormais je suis en graves difficultés financières.

    19.06 à 08h38 - Répondre - Alerter
  • Cette presentation des choses dans votre article est choquante parce qu’elle augmente encore un peu l’effet d’annonce publicitaire qui est le seul but poursuivi par le gouvernement. Il faudrait dire au contraire que ce qui est dans le texte est toujours sur la table .
    Absolument rien n’est décidé, rien n’est changé. D’un texte à un vote, de la chambre des députés au sénat, et de la loi à ses décrets d’application il y a tant de distances pour le gouvernement le plus hésitant que a France a connu depuis la 4° république qu’il n’y a pas quoi se réjouir à l’exception d’une chose : la valeur d’Alstom. Car cette entreprise et ses différentes branches toutes impliquées dans le projet de Mme.Royale vaut de plus en plus cher. Comme ça a été montré par Terra Eco elle travaille pour le charbon, pour l’éolien, pour le nucléaire, pour l’hydroélectricité, pour l’énergie marée motrice, pour les turbines à gaz et enfin pour toutes les variations du transport par rail. Nous allons faire une bonne affaire et serieusement augmenter notre richesse mais est ce que nous n’allons pas perdre la puissance que nous avions acquise sur le marché énergetique ?

    19.06 à 08h46 - Répondre - Alerter
  • rénover 500 000 logements !
    sur les qqs dizaines de millions à faire et demandé depuis le 1er choc pétrolier ...
    - on pourrait en rire !
    d’autant qu’il est certain qu’aucun gouvernement sur le modèle des derniers depuis 40 ans ne fera sérieusement qqchose qui changera la demande énergétique dans le sens emprunte biosphère - les (des) grandes entreprises ont trop de pouvoirs pour que cela change.
    On le sait : sans une catastrophe ou une bonne rébellion populaire rien ne se fait et encore !
    Pire après la vaste escroquerie des banques, ces dernières ont autant de pouvoir de nuisance, on a le système qu’on accepte.

    Question du débat de transition énergétique : il faudrait connaitre quelles sont les forces en présence pour pouvoir arbitrer au mieux.

    Qui fait que tel projet se fait ou non ?
    Quels intérêts en jeu ?
    Quelles conséquence de faire ainsi, de ne pas faire etc ..
    - c’est cela un débat évaluer différents scénarios possibles
    On est très très loin du compte

    Le bruit empêche opportunément de distinguer les forces en présence
    les scénarios possibles ...
    pour l’électricité on a negawatt . une très bonne base

    Mais qd on voit que les associations compétentes sont écartées des rares débats par le gouvernement (que certain ose prétendre de gauche ... ou socialiste .. vaut mieux en rire)
    on peut douter de ce qu’un débat peut amener sinon du bruit, de l’agitation.
    Nos médias sont très friands d’agitation - c’est anti-démocratique.

    nous ne sommes que des papillons blancs.

    19.06 à 13h48 - Répondre - Alerter
  • Un double piège se trouve dans le plafonnement à 62,2 GW de la puissance nucléaire.

    D’une part, cela veut dire qu’il n’y a aucune ambition de réduire cet puissance globale des réacteurs nucléaires ni de réduire la quantité d’électricité nucléaire.

    D’autre part, un réacteur récent produira plus d’électricité qu’un réacteur ancien, pour une même puissance, car il aura un meilleur taux de charge, il fonctionnera un plus grand nombre d’heures dans l’année à plein régime.

    Par exemple, l’EPR de 1.600 MW produira plus d’électricité que les deux réacteurs de Fessenheim (2x880 MW).

    http://energeia.voila.net/nucle/ambiguite_nucleaire.htm

    D’autres incohérences se trouvent aussi dans ce projet.

    23.06 à 14h59 - Répondre - Alerter
  • L’omission est claire : la production nucléaire reste la même et sa part passe de 75% à 50%, cela traduit juste une croissance de 50% de la production d’électricité. EDF doit être content, les écolos sont ... "refaits".
    La vrai transparence, cela serait déjà la vérité des coûts : un accident type Fukushima, c’est aussi cher que tout le programme électronucléaire Français, et EDF n’est pas assuré pour cela !
    Si EDF payait à l’Etat une prime d’assurance égale au coût de production, soit 5 centimes par kilowatt heure, cela serait un bon début.
    Ensuite, EDF doit aussi payé pour le démantèlement des centrales et le stockage des déchets, soient encore quelques centimes de plus.
    Et à ce prix là, le nucléaire ne serait vite plus rentable !!!
    Un fond souverain pourrait capté tous ces milliards dû par EDF, et réglerait aussi le problème de financement de la transition.
    Cette soi disante transition, c’est de la "com. mensongeaire", juste pour dire que l’on fait quelque chose, ce n’est que du ... "Hollande" !

    26.06 à 19h48 - Répondre - Alerter
  • D’après un autre article de Terraeco, les cyclistes sont les plus heureux.
    Encore faut il pouvoir circuler en toute sécurité sur de vrais pistes cyclables...
    Et où sont elles, ces pistes cyclables, dans le discours de Madame Royale ? Rien ! Elle n’a rien compris !
    C’est toujours le "tout voiture" ! Des voitures électriques, un point c’est tout, alors que la technologie des batteries n’est pas adaptée à la voiture, la fabrication de batterie de 200 kg nécessite beaucoup trop d’énergie et émet en conséquence beaucoup trop de CO2 par rapport au petit avantage ultérieure d’émettre un peu moins de CO2 à l’usage.
    Ce qu’il faudrait, c’est la création dans chaque département de 50 à 100 km de pistes cyclable par an, soit 5 à 10 000 km /an pour la France, et ainsi avoir bientôt un beau réseau reliant villes et villages, pour des déplacements heureux !
    Et pour les longs trajets, il reste le covoiturage, sans les bouchons, s’il y a moins de voitures.
    Et pour aider cela, arrêtons de subventionner les carburants, dont le vrai coût pour la société est de l’ordre de 2,50 Euros le litre !!!
    Mais bon, c’est trop demandé à des technocrates, qui ne s’intéressent qu’à leurs carrières. Notre président, c’est Hollande, pas Roosevelt !

    26.06 à 23h12 - Répondre - Alerter
PUBLIER UN COMMENTAIRE

Un message, un commentaire ?

  • Se connecter
  • Créer un compte

publicité
1
    Terra eco
    Terra eco
publicité
2
publicité
3
SPIP | squelette | | Plan du site | Suivre la vie du site RSS 2.0
publicité
bas