Donner un coût financier aux atteintes à l’environnement n’a pas de sens car la qualité de l’air, de l’eau, l’équilibre du climat, la santé, la vie, ça n’a pas de prix. Sur quelle base évalue-t-on le coût d’une vie humaine ? Sur la perte de PIB ? Cela signifierait donc que la vie d’un Somalien vaut moins que celle d’un Français ? Et sur quelle base évalue-t-on le coût d’un décès ? Sur ce que les assureurs doivent verser ? Et comment les assureurs ont-ils obtenus un chiffre ? par une négociation avec "le client" ?
Tout cela est inhumain (et donc anti-écologique) et scientifiquement aberrant. Relisez Jean-Marie Harribey (la richesse, la valeur et l’inestimable).
20 milliards d’euros