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Le burger bio, vous en mangerez ?

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Ce mardi, Quick lance un cheeseburger bio. Une hérésie ou au contraire une occasion de se réconcilier avec le fast-food ? A vous de nous le dire.

25 commentaires
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  • Je serais curieuse d avoir l’avis de personnes qui mangent habituellement dans les fasts foods tout en faisant des courses majoritairement bio( car oui on peut manger bio et aussi faire des écarts en mangeant dans des fasts foods) et qui pourraient donner un avis intéressant.
    Car pour des personnes qui ne mangent que du bio, évidemment que ça va être mauvais, fade, sans goût et lourd ! Il faut comparer ce qui est comparable.

    Quick devrait , au delà d’une pub qui sent le greenwashing à plein nez, communiquer réellement sur les produits qui constituent ce burger. Montrez que tout est vraiment bio. D’après ce que j’ai lu, seul l’eau et le sel ne sont pas bio.

    Après, si vous voulez un vrai repas : allez dans un vrai resto.
    Vous dites " bio mais avec un steack de viande" : bio ne veut pas dire végétarien.

    Enfin, si c’est un coup de pub tant pis.
    Si c’est une démarche écologique , tant mieux.

    Dans tout les cas, je pense qu’il faut attendre avant de juger.

    3.10 à 18h15 - Répondre - Alerter
  • A mon sens le problème du bio aujourd’hui n’est pas de savoir si c bon ou non c de connaître sa provenance si cette enseigne fait un sandwich bio avec un bilan carbone trois fois plus élevé que ses autres produits. Ce bien entendu dans le but d’augmenter la marge et le bénéfice du produit et bien je n’en mangerai pas. Il en va de même pour le BIO en supermarché.

    25.09 à 01h09 - Répondre - Alerter
  • La réponse est simple : NON.

    24.09 à 10h41 - Répondre - Alerter
  • Don Quichotte : ... et le goût ?

    J’ai testé le cheeseburger bio de Quick ce midi. Impressions :
    - déjà l’affiche est trompeuse : le burger est posé sur un fond vert herbeux et de petites touches de couleurs autour du steak laissent penser qu’il y a des morceaux de tomates ou de la salade à l’intérieur. Que neni : pas de tomates mais du vulgaire ketchup, pas de salade mais de minuscules morceaux d’oignons.
    - ensuite le prix : le burger n’est proposé dans aucun menu, donc il vous en coûtera 2,5 euros pièce. Et comme il ne contient qu’un steak, vous en prendre sûrement deux si vous voulez tenir la journée avec ce repas. En comparaison, le menu "tentation" avec un burger de trois steaks + des frites + une boisson coûte 7 euros.
    - enfin le goût : franchement, le steak n’est pas mauvais (bien voire trop cuit, comme dans tous les burgers), et le fromage se défend, mais l’ensemble est trop sec, ça manque vraiment de sauce et de crudités...
    - bilan : bof. Pour toucher un nouveau public, Quick aurait peut-être mieux fait de jouer à fond la carte du burger gourmand bio avec des produits frais de saison, quitte à augmenter encore le prix du sandwich. Mais était-ce le but de l’opération ?

    23.09 à 14h04 - Répondre - Alerter
  • Suffit-il de proposer 3 produits bio dans toute sa gamme de produits pour se prétendre "bio" ou "faisant des efforts pour le DD" ? Non, heureusement, parce q’une démarche responsable passe avant tout par une démarche globale, un courage éthique et commercial et là, Quick est franchement dans le mou. Au niveau social, on frise le zéro absolu. De quoi faire rire les équipiers du groupe Quick.

    En même temps, faudrait-il se réjouir d’un passage au "100% bio" dans toutes les enseignes Quick ? Bah, non, non plus, parce que cela voudrait dire importations massives de bio, développement de l’agri bio "industrielle" au détriment d’une agri bio locale. Une solution ? Changer de mode de restauration en revenant à une relation rationnelle à l’alimentation et en redécouvrant la notion de "plaisir". Ce qui ne veut pas dire pour autant fin de la vente à emporter ou fin de la restauration "hors de table".

    23.09 à 10h26 - Répondre - Alerter
  • Ca’rsher : Comme des bionobios

    J’aimerai qu’on m’explique comment un produit « fast-food » peut être « bio ». N’est-ce pas paradoxal ? A mon avis ce n’est pas compatible, le bio n’est pas seulement un cahier des charges, mais aussi un respect qui ne trouve pas sa place dans un concept assimilé/associé à la « malbouffe »...

    22.09 à 12h33 - Répondre - Alerter
  • mandrake : un vrai hamburger

    Un vrai hamburger, qui n’est pas de la malbouffe, mais bien gouteux, et sortir de table rasasié jusqu’au soir ne se trouve pas chez quick, mais dans les petits resto qui proposent un vrai repas US, avec de bons ingrédients, et sans mayonnaise ou autre sauce sucrée destinée uniquement à masquer le sentiment de sassiété (c’est à dire ne plus avoir faim).

    Mac Do ou Quick ne sont que les représentants de la malbouffe, et certainement pas du goût US.

    22.09 à 10h21 - Répondre - Alerter
  • Thomas Yves : Burger bio chez Quick

    Après le burger Halal nouveau coup de pub donc avec le burger bio.
    Plusieurs commentaires.
    -Comparer le prix du cheese bio et le prix du cheese non bio.
    - Puique la direction donneuse d’ordre de Quick se contente de surfer sur les modes du moment les employés(e)s de Quick attendent avec impatience la mode du respect des salarié(e)s en espérant que cela dure plus longtemps qu’une mode (on peut rêver non)
    On attend toujours les contreparties liées à la baisse de la T.V.A (coup de pouce salarial augmentation des effectifs.) On attend également de la direction donneuse d’ordre que celle-ci lorsqu’elle passe des restaurants en franchise n’en profite pas pour se débarrasser de ses salarié(e)s En les mettant devant le fait accomplit et sans leur proposer de les mutter dans un restaurant en compagnie dans une même zone géographique.
    Comment se fait-il que Quick est de l’argent pour sponsoriser quelques peoples (Les frasques d’Anelka ne sont pas seules en cause . II y a eu le PSG, Cauet j’en oublie.)Et n’en a pas pour payer ses salarié(e)s correctement ?

    Cela dit ne voir dans la restauration rapide que le symbole de la malbouffe c’est ne voir que la partie visible de l’iceberg c’est surtout le symbole de la malvie.
    Donc OK le fastfood ne constitue pas le summun de la gastronomie ( j’en ai la preuve).Mais un burger de TEMPS EN TEMPS ce n’est ni pire ni meilleure qu’autre chose. Si toutefois lassé par la pseudo diversité des produits servis dans ces restaurants , il vous prenait l’idée d’envoyer des recettes de cuisine à la direction.SURTOUT ABSTENEZ VOUS. Ils pourraient se la réapproprier en faire une jolie opération de marketing, de gros bénéfices mais n’en espérez aucune gratitude.
    Bon ma preuve que les repas servis chez Quick ce n’est pas de la grande gastronomie.
    Mais asseyez-vous !
    Lorsque Sarkozy a fêter sa victoire à la présidentielle avec ses potes au Fouquet’s parmi lesquels figurait Albert Frère L’ex actionnaire Principal de Quick.Qui la vendu dans des condition très interressantes à la caisse des dépots et consignations (Organisme public).
    S’agit-il d’un scandal politico— financier supplémentaire ??
    Quoi qu’il en soit ce n’est chez Quick qu’ils ont été festoyés.

    Thomas Yves
    équipié Quick créteil préfecture

    21.09 à 21h10 - Répondre - Alerter
  • Voir les commentaires sur la page Facebook de Terra eco :
    http://www.facebook.com/Terraeco

    21.09 à 19h53 - Répondre - Alerter
  • Si réellement le hamburger de chez Quick est bio, ça vaut le coup d’essayer.

    Le problème, c’est que je n’ai aucune confiance en ces grosses chaînes de malbouffe qui ne se soucient ni du bien-être des animaux tués, ni de celui des consommateurs.

    Admettons que Quick ait fait un réel effort quant aux ingrédients comme le pain, les sauces, la salade, etc. Qu’en est-il de la viande contenue dans le hamburger ?...
    Les boeufs sont-ils élevés avec respect et tués le plus proprement possible ? Ou bien sont-ils parqués en surnombre et tués dans d’immondes abbatoirs où ils sont traités comme des objets sans âme ?

    Bref, il faut savoir exactement ce que Quick entend par "hamburger bio" !

    La notion même de bio, victime de son succès, commence malheureusement à être parfois un peu galvaudée ! On voit des produits "bio" qui contiennent de sacrés mélanges ! D’ailleurs, de nouveaux labels se mettent en place : ils vont vers plus de rigueur en allant au-delà des obligations imposées par le cahier des charges, ce qui et un gage de qualité et de sécurité pour le consommateur.

    Alors, un hamburger bio, d’accord, mais je n’en mangerai pas sans avoir de preuve que ce soit vraiment du bio, et pas seulement pour le pain ou la salade !!

    21.09 à 17h25 - Répondre - Alerter
  • Bon, je suis allé le gouter, moi et peut donc parler du produit.
    Franchement c’est un produit comparable aux autres, peut être un peu plus fade car avec moins de sauce et une perception de fromage au goût d’emmental. Le sandwitch reste donc sans sensation particulière, la digestion reste comparablement lourde. A noter que le prix est réduit (environ 2€50).
    Donc pour moi, ce produit n’apporte rien de particulier ni de terrible (et très loin de la description rèvée de Foulcan).

    Cependant reste encore pas mal de progrès à réaliser au regard des déchets générés par l’activité fast food (plastiques, cartons...) du niveau de stress des personnels durant les heures de pointes et enfin de l’équilibre diététique des menus de bases poussés par la marque (sandwitch, coca, frite)

    21.09 à 14h58 - Répondre - Alerter
  • Ok, bravo, merci pour l’info. Et quand je dis "info", je pense "pub". On en entend parler partout de ce burger bio. Cela frise l’indigestion. Voilà un produit présenté aujourd’hui dans les médias comme s’il s’agissait d’une info. Merci pour le plan de comm’ de Quick. Et vous allez réagir chaque fois que Zara, Adidas ou H&M sortent une nouvelle référence ? C’est incroyable ! Le Parisien.fr a même mis en ligne un article sur le sujet dans chacun des onglets de sa rubrique "Votre ville" (qui couvre l’actualité locale des ... banlieues. Tient Quick se paierait-il une communication à bon compte après l’affaire des burgers halal ? ).
    Du coup, que l’on suive l’actualité de l’Essonne, des Hauts-de-Seine ou du Val-de-Marne, on se paie une bouchée de sandwich.
    C’est là :
    http://www.leparisien.fr/accueil/seine-saint-denis-93.php
    http://www.leparisien.fr/accueil/val-de-marne-94.php
    http://www.leparisien.fr/accueil/yvelines-78.php

    etc.
    Vite, une gorgée de soda pour faire passer tout ça.

    21.09 à 11h39 - Répondre - Alerter
  • hugo75 : lavage vert

    tout à fait incohérent comme pratique : Quick reste et demeure un produit de malbouffe, salariés mal payés, repas trop gras, trop salés trop sucrés...
    donc juste une opération de com pour dire qu’ils sont dans le coup comme Mc Do... du pur greenwashing !

    21.09 à 11h35 - Répondre - Alerter
  • Foulcan : à nuancer !

    Tout d’abord, je voudrais répondre à Florent qu’il faut se méfier de l’amalgame entre le BIO et l’ECOLO.
    Ta culture, aussi bio soit-elle se fera toujours au détriment d’un écosystème naturel.
    Le BIO est avant tout un confort alimentaire (entre autre) humain.

    Bref, Quick qui fait du Bio, bon, admettons. Mais le problème des fast food, largement dénoncé, c’est tout d’abord l’extrême déséquilibre de leurs préparations, de leurs menus.
    Schématisons, ils nous nourrissent de graisse qu’il faut faire glisser en buvant du caramel...
    Même si c’est mon AMAP qui me refile un tel festin, il est hors de question que je l’inclue dans l’alimentation de mes enfants !
    Par contre, soyons honnêtes, un bon vrai hamburger, c’est un régale ! Je ne vous parle pas de ces machins molasse, mais de pain craquant, de légumes croustillants et de viande tendre...
    Et bien que j’en doute fort, si c’est ce que nous promet Quick, pourquoi pas ?

    21.09 à 11h22 - Répondre - Alerter
  • Nous voudrions vivre dans un monde "idéal" où tout serait bio, éthique, durable. Mais la réalité est bien plus nuancées. Les fasts food n’échappent pas à la règle. Ils existent et dans le paysage actuel ils sont fréquentés par une partie significative de la population. On peut déplorer par conséquent la perte des identités culinaires locales, et le nivellement du goût sur une échelle mondiale. Cependant, leur principal intérêt est de s’adresser à une population peu habituée à consommer du bio. Il faut encourager toutes les initiatives réelles. Il ne s’agit ici ni de greenwashing, ni d’utilisation abusive de l’écologie. A la seule condition qu’il s’agisse vraiment de bio, ce qui doit être le cas... Espérons que la réussite de l’initiative montre le chemin pour l’avenir.

    21.09 à 11h01 - Répondre - Alerter
  • La commercialisation d’un hamburger bio est une première intéressante
    * elle montre que le bio n’est pas nécessairement un produit de luxe réservé aux plus riches
    * elle illustre que sans être antinomiques, bio et bon pour la santé ne sont pas synonymes.
    * la démocratisation du bio via les fastfoods permet d’envisager un changement d’échelle des volumes des filières bio (ce hamburger, ce n’est pas que de la viande, mais certainement aussi du fromage, du pain, des condiments,... qui entrent dans la recette et devront être "bio").

    Je souhaite donc à Quick de vendre beaucoup de ce burger, que son succès les encourage à pérenniser cette offre et qu’ils soient copiés par de nombreuses autres enseignes.

    21.09 à 10h35 - Répondre - Alerter
  • Quelle horreur ce vernis vert sur des hamburgers quand l’enseigne doit utiliser je ne sais combien de tonnes d’huile de palme pour ses frites... A quand le ketchup vert de chez Quick ?

    21.09 à 10h25 - Répondre - Alerter
  • Mehdi : hamburger Bio

    Bonjour
    Sympa une annonce comme celle là ! ....Mais qui dis fast-food dis approvisionnement en gros voir en masse voir en très grosse masse ! alors comment répondre a une consommation industrielle par une production artisanale, car c’est ca le bio non ? plus de l’artisanal ou du régional, sinon l’industriel devrait faire des entorses au réglement pour honnorer des commandes aussi grande que por Quick, alors c’est un beau coup marketing , un point c’est tout ( comme dirait un certain entraineur de natation ;)........

    21.09 à 10h11 - Répondre - Alerter
  • Je travaille dans la fast-foodie (voir le blog "fast-clientele") et, en tant que référent environnement de mon restaurant et intéressé par ces questions (sinon je serais pas là... ;-)) j’essaie de décortiquer à mon échelle les ressorts du fast-food.

    mcDo comme Quick propose désormais du bio. Fort bien.

    Une discussion avec ma responsable environnement au niveau national à propos du lait (qui sert à faire les boissons chaudes) m’a permis de voir que la réflexion est tout de même sincère : on ne fait pas du bio pour faire du bio. Ainsi, si on devait proposer du lait bio, il faudrait le chercher en Hongrie. Or, la firme a pour objectif de faire du "local".
    Et ses efforts se font petit à petit dans la selection des produits "bruts" (les ingrédients). Ainsi, un article de TE nous apprenait que les oeufs des recettes petit déjeuner provenaient d’élevages de poules en plein air. C’est peut-être anecdotique, mais bon...

    Après, on peut se demander pourquoi la firme propose des sandwiches à la tomate en plein hiver ! Oui, on réfléchit à diminuer l’offre de sandwiches à la tomate en cette saison, mais comment le client va le prendre ? Car à la fin, on répond à une demande du client !

    Pourquoi limiter l’offre chez Quick ou chez McDo à un ou deux produits ? Parce que les filières sont encore balbutiantes en France. L’exemple du lait est révélateur : il faudrait annuler l’effet bénéfique du bio par un transport lointain...

    c’est pour moi un premier pas à encourager. A moins de tous boycotter les fast-food (utopique) ce mode de restauration, induit par le rythme de notre société (vous avez combien de temps pour manger à midi ?) perdurera longtemps. Autant alors qu’il soit le moins écologiquement aberrant, non ?

    21.09 à 08h56 - Répondre - Alerter
    • Bonjour,

      J’ajoute la citation d’Alain Passard, chef du restaurant l’Arpègne, extraite du dernier numéro de Terra Eco en page 33 : "Je ne pense tomate que 3 mois par an, ça m’apaise. On ne peut pas penser tous les produits 12 mois sur 12. C’est épuisant, ce n’est pas bon et c’est cautionner un mauvais système. La nature a bien fait les choses : tout ce qui arrive à maturité au même moment va parfaitement ensemble."

      La saisonnalité devrait être un principe de base pour tout ce qui se prétend faire de la restauration.

      Romain

      21.09 à 14h18 - Répondre - Alerter
  • Mais cela viendra....

    21.09 à 08h52 - Répondre - Alerter
  • sash28 : Bon coup de pub

    Encore un bon coup de pub. Il s’agit juste d’un "bio-washing" de plus. Et le steak, il est Halal ou pas ?

    Tout le monde met un petit coup de bio par-ci, bio par-la juste pour vendre mais derrière tout ça il n’y a que du marketing. Arrêtons de nous prendre pour des C....

    On sait ce qu’il faut faire pour faire 1 kg de steak et avec qui plus est 60% de gras dedans !!

    21.09 à 08h31 - Répondre - Alerter
  • BOSCO : HONTEUX

    STUPIDE IDEE, PUREMENT COMMERCIALE

    21.09 à 08h18 - Répondre - Alerter
  • greg2024 : dommage

    J’aurai plus facilement sauté le pas, s’ils nous avait proposé une salade bio, des frites bio ou un hamburger sans viande bio. Là effectivement, c’est bio... mais avec un steak de boeuf industriel dedans !

    21.09 à 07h52 - Répondre - Alerter
  • De prime abord, un cheeseburger bio peut représenter une amélioration de l’offre vers des produits plus "durables". Mais dans ce cas, pourquoi limiter la durée de l’offre ? Cela traduirait-il une mauvaise rentabilité du produit, ou confirmerait la volonté de s’offrir une image verte pour récupérer des clients sans tenir des engagements sur la durée ?

    Cette initiative pourrait être prise au sérieux si elle venait à se généraliser en "option bio" sur l’ensemble des produits et sans durée déterminée. Sans quoi ce coup marketing ne serait qu’un simple greenwashing de plus...

    Le plus dérangeant reste l’exploitation publicitaire, qui détourne de l’enjeu de fond. L’étiquette "bio" sert ici à rendre "écologique" un produit qui ne peut être durable. Aussi bio soit-il, le cheeseburger reste un produit à base de viande bovine, sans parler de l’impact environnemental du procédé de fabrication depuis les matières premières jusqu’au plateau, et des impacts sur la santé publique de ce type de restauration.

    Bref, que Quick ne nous fasse pas croire que le cheeseburger bio a quelque chose d’écologique !

    20.09 à 21h32 - Répondre - Alerter
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