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22-12-2014
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Développement Durable
Monde
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Olafur Eliasson fait entrer la nature dans les musées

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Olafur Eliasson, « Green river », 1998, uranin and water, Stockholm, Sweden, 2000.

En 1998, les villes de Brême, en Allemagne, Moss, en Norvège, Los Angeles, aux Etats-Unis, et Stockholm, en Suède, sont atteintes du même syndrome : en quelques heures, l’eau de leurs fleuves se teint d’une couleur vert fluorescente. Avec Green river, Olafur Eliasson fait soudain détourner les regards des passants qui s’interrogent.

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Olafur Eliasson, « The weather project », 2003. Monofrequency lights, projection foil, haze machine, mirror foil, aluminum, and scaffolding. Installation view « The weather project », Turbine Hall, Tate Modern, London 2003.

En 2003, à la Tate Modern à Londres, le plasticien réalise The Weather project. Les spectateurs sont plongés dans une sorte de brouillard. Au fond, un soleil inquiétant, composé de centaines de lampes mono-fréquence qui ne permettent de voir que le jaune et le noir, inonde la salle.

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Olafur Eliasson, « New York City Waterfalls », 2008, Presented by the Public Art Fund, in collaboration with the City of New York. Photo : Christopher Burke Studio, 2008

Les New York City Waterfalls, installées en 2008 sous le pont de Brooklyn à New York font apparaître la force de l’East Side River et remettent la vitalité de la nature sous les yeux des riverains.

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Olafur Eliasson and Minik Rosing, « Ice Watch », 2014, Copehagen. Photo : Group Greenland

En octobre dernier, l’artiste installe douze blocs de glace devant l’hôtel de ville de Copenhague au moment où les experts du Giec (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) se réunissent. Récupérés dans un fjord du Groenland, pesant une centaine de tonnes, ils fondent sous les yeux des habitants.

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Olafur Eliasson, « Riverbed », 2014, installation shot. Photo : Anders Sune Berg, courtesy of the Louisiana Museum of modern art.

Au début du mois de janvier s’achèvera l’exposition Riverbed au musée d’art contemporain de Louisiana, à Copenhague, au Danemark. Olafur Eliasson a investi une partie des salles en y installant le lit d’une rivière plus vraie que nature, mais presque à sec que le visiteur peut parcourir.

 
Alors que le plasticien danois expose « Contact » à la Fondation Louis Vuitton, à Paris, retour sur quelques-unes des œuvres marquantes de son parcours d'artiste engagé.
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A lire, notre article sur la dernière installation d’Olafur Eliasson, à Paris.

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