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« Terra eco » vous offre votre coach en transition : Bridget Kyoto

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« Terra eco » vous offre votre coach en transition : Bridget Kyoto
 
Pour changer de vie et changer le monde, vous n'êtes plus seuls. Mais Bridget Kyoto, c'est mieux que SOS Détresse. Elle vous aidera désormais à avancer pas à pas ou à faire des bonds de géant. Parlez-lui, elle n'attend que ça.
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ÉCOLOGIE SOCIÉTÉ ÉCONOMIE
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Les psys avaient la transaction ; nous, on a la transition. Embarquez avec moi pour un long et non-douloureux coaching transitionnel qui vous emmènera sur les cimes du XXIe siècle, là où tout ne sera que résilience, joie de vivre, poilade continue et permaculture.

Pour cette première étape, nous nous dirigerons vers le petit coin, là où chaque humain tente de masquer son appartenance à la longue et complexe chaîne du recyclage organique. Et si on mettait nos miches au sec en déféquant sans la précieuse H2O ? Vous avez des retours d’expérience, des questions, des doutes, des frousses indicibles avant de sauter le pas ? Je vous écoute, telle une Macha Béranger de la sobriété volontaire, et je vous conseille, ô petits scarabées !

Pour le lancement de cette nouvelle rubrique – que vous retrouverez régulièrement sur Terraeco.net et dans les pages de Terra eco –, nous comptons sur vous pour poser des questions à Bridget, lui faire part de vos hésitations, lui lancer des défis, etc. N’hésitez pas et communiquez avec elle dans les commentaires au bas de cet article ou sur la page Facebook des Ambassadeurs de Terra eco. Vous pouvez également, si ce n’est déjà fait, ouvrir votre blog pour nous raconter vos expériences.

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Bridget Kyoto est un double déjanté de Laure Noualhat, journaliste, qui offre chaque semaine une Minute nécessaire sur Internet.

Les liens de Bridget : page Facebook, Youtube

13 commentaires
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RÉPONSES DE LA RÉDACTION
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  • Bonjour oh Bridgette,
    je suis déjà intervenu d’abondance sur l’article "Toilettes : l’invention du XXIe siècle" qui, ne parlant aucunement des toilettes sèches m’avait largement déçu. Je ne vais donc pas réécrire ce que j’ai posté en commentaires au bas de l’article.
    Je suis utilisateur de toilettes sèches depuis un peu plus de 5 ans et je suis très étonné par les relations d’expériences disons "négatives" lues ci-dessous. Les freins supposés n’en sont pas si on leur apporte la solution.
    Le volume du compostage : là, je tombe des nues, ouille. Le volume se tassant extrêmement vite, il est quasi-impossible d’arriver à remplir un m3 en aussi peu de temps à 3. Donc il faut trouver d’où vient le problème.
    Pas assez d’humidité : un compost trop sec reste en volume et n’est pas visité par les lombrics de tous poils.
    Qualité de quantité de la sciure : j’ai remarqué que les gens mettent en général trop de sciure sur leur caca, comme s’ils voulaient noyer le poisson (sans jeu de mot, hein), il faut donc user de pédagogie et sur le petit écriteau qui jouxte nos différentes toilettes, nous avons bien précisé : "une demi-louche après un pipi ou une louche après un caca voire 1 et demie mais pas plus". Et la louche est de taille moyenne. Quant à la qualité, rien ne vaut la sciure de bois et là, je suis très étonné de lire que les menuisiers fournissent de la sciure traitée. Les menuisiers utilisent du bois d’oeuvre qui n’est pas traité ou alors ce ne sont pas des menuisiers ! Mais rien ne vaut d’aller en scierie et il faut bien habiter dans un drôle d’endroit pour ne pas trouver de scierie. Ici, en Auvergne, le problème est plutôt inverse, les scieries ne savent pas quoi en faire de leur sciure. Doit-on en faire commerce ? Car je ne sais pas ce qu’on appelle de la litière à chevaux, moi, j’ai toujours utilisé de la paille pour les animaux et la paille n’est pas adaptée si on veut maîtriser les volumes, effectivement...
    Sur ce, Bridgette et amis toiletteurs, je vous laisse et je tâcherai d’intervenir plus souvent sur les messages...

    5.02 à 12h27 - Répondre - Alerter
  • Coach offert par un média ? Terra Eco va discuter avec chacun de ceux souhaitant changer de vie professionnelle ?
    Et si ce forum lançait le coaching collaboratif ? Et Bridget, c’est proche de bridge, le pont, la transition. À bientôt
    francois

    2.02 à 08h24 - Répondre - Alerter
  • Merci pour l’humour. C’est encore trop rare en transition. C’est rafraîchissant.

    Pour le popo à la sciure, je vais voir venir.

    1er.02 à 18h46 - Répondre - Alerter
  • Ecologiste convaincue, pratiquante avec grosses contradictions (presque) assumées, je ne peux même pas envisager les toilettes sèches, évidemment à Paris, mais même à la campagne. C’est grave docteur Coach ?

    1er.02 à 14h52 - Répondre - Alerter
  • et Bridget répond ? quand ? à quel endroit ?

    30.01 à 15h22 - Répondre - Alerter
  • Bonjour

    Nous avons également tenté l’expérience des toilettes sèches depuis...pffiou... 5 ans maintenant.
    Au départ, nous avions tout pour réussir :
    -un grand jardin avec une surface disponible pour le compost de 3 m²
    - une maison individuelle
    - un mari bricoleur qui nous a fabriqué un trône digne des plus grands avec 2 trappes sur les cotés pour stocker la sciure.
    Pour la sciure d’ailleurs , difficile de s’approvisionner chez les menuisiers car le bois est le plus souvent traité donc on s’est rabattu sur de grands sacs de litières pour chevaux.
    Après quelques années d’expérience donc :
    Les points positifs : une grosse économie d’eau (38m3 sur une année quand même), des enfants qui n’ont eu aucun mal à s’y mettre, pas d’odeur, un compostage qui marche sur le long terme.
    Les points négatifs : faut vider et nettoyer le seau et franchement c’est pas le moment le plus agréable de la journée... Surtout en hiver quand on s’aperçoit vers 19h30 que, diantre, le seau est plein ! Des membres de notre famille ont vraiment eu du mal avec l’idée lors de leurs visites.
    Du coup, on a transigé : des toilettes sèches en bas, des toilettes à eau à l’étage, comme ça il y en a pour toutes les convictions et aussi pour les petites flemmes...

    30.01 à 09h03 - Répondre - Alerter
    • Pour les points négatifs :

      le seau : il vaut mieux en avoir plusieurs. Ça permet de mettre le seau plein dehors alors qu’il fait nuit ou qu’on n’ a pas le temps de s’en occuper et mettre un seau propre préparé d’avance.

      les membres de la famille récalcitrants : un peu de pédagogie et surtout l’occasion de parler de pipi et de caca alors que ce n’est pas "habituel" !!! Par contre, la solution qui consiste à avoir les deux sortes de toilettes me paraît contre-indiquée : ça empêche les gens de changer leurs habitudes. Au pire, si ça ne leur plaît pas, ils sauront se retenir... il y a des gens qui n’aiment pas les toilettes sèches mais que ça ne rebute pas d’aller utiliser des toilettes d’autoroutes, tous les goûts sont dans la nature...

      B Desroches

      5.02 à 12h35 - Répondre - Alerter
  • Alors çà tombe bien puisqu’on a tenté l’expérience en zone urbaine il y a peu... mais nous avons du arrêter. Pourtant nous avions :
    - des toilettes sèches fabriquée maison, dans notre appartement au deuxième étage d’une petite copropriété
    - un bout de jardin avec un composteur
    - un approvisionnement en sciure de bois via de la famille dans le Morvan (proche d’un scierie)
    Mais le problème c’est posé au bout de 6 mois... composteur plein a craquer. Avec seulement 1,5 adulte +1 enfant pour un composteur de plus d’un mètre cube au moins.
    Et comme le compost issu de déjections doit murir plus d’un an (voire 18 mois je crois), il nous aurait fallu trois composteur pour viabiliser ce système (parce qu’en plus nous compostons nos déchets de cuisine).
    Et bien sûr comme nous n’avons pas de voiture, impossible de balader ce compost ailleurs ...
    Sinon l’expérience était plutôt positive : pas de problèmes d’odeur, et surtout plus de problème de plomberie ;-)

    29.01 à 12h42 - Répondre - Alerter
  • J’en ai appris une bien bonne hier soir à Migné (86) au cours de la réunion organisée par l’ADEMA sur la téléphonie sans fil :
    " Didier Bellens patron de Belgacom, le plus grand téléphoniste belge, n’aime pas le Wi-fi. Il l’a interdit chez lui et au 27ème étage de la tour Belgacom qu’il occupe avec toute la direction. Tout passe par fils. Les ondes Wi-fi sont dangereuses pour la santé, dit-il "

    ça me rappelle une discussion que j’ai eue avec un producteur de canards industriels :
    - Tu en manges de tes canards ?
    - Tu rigoles ! Ils sont bien trop dégueulasses !...
    Ambroise

    29.01 à 10h53 - Répondre - Alerter
  • En ville on fait comment ?

    29.01 à 10h19 - Répondre - Alerter
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