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28-10-2011
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Société
Espagne
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La ville mise en lumière

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« Approcher le recyclage »

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«  Ne regarde pas la lumière  »

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« Approcher le recyclage »

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« Approcher le recyclage »

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«  Poésie illuminée  »

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«  Faune et flore préservées  »

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«  Sous la menace nucléaire  »

 
Dans les arbres, sur les trottoirs ou sous des journaux… Le collectif espagnol Luzinterruptus place ses loupiotes un peu partout dans la cité. Histoire d’éclairer notre quotidien sous un autre angle.
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ÉCOLOGIE SOCIÉTÉ ÉCONOMIE
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Là où la ville a mal, le collectif Luzinterruptus met le doigt. Ces artistes de rue espagnols – et anonymes – ne manquent pas d’idées pour traiter des problèmes de la cité. Avec leurs installations éphémères, ils abordent tour à tour la question des espaces verts, du recyclage, du poids de la finance ou du manque d’eau potable… Mais toujours avec la même arme : de petites lumières autonomes disposées au sol ou sur le mobilier urbain. Un jour, elles figurent de fausses pistes cyclables dans le centre de Madrid. Un autre, elles accompagnent des lunettes géantes pour dénoncer l’hyper-illumination des monuments de la capitale espagnole ! Le ton, lui, est à la poésie ou à l’humour. « Ça nous permet de nous rapprocher des gens, même si, dans le fond, notre propos n’est pas drôle du tout », explique le collectif. Après quelques heures, les passants « emportent l’installation qui passe ainsi de la rue aux maisons, se recyclant de manière naturelle ». —

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  • Et pour appuyer Les propos d’Ammar, je vous prie de porter attention à ce qui suit...

    L’avenir du protocole de Kyoto, traité emblématique pour lutter contre le réchauffement, sera l’un des sujets chauds de la conférence sur le climat de Durban (Afrique du Sud) où seront aussi discutés les moyens financiers et les contours d’un éventuel futur cadre international !

    Voici la liste des principaux sujets sur la table des négociations de cette conférence qui va réunir plus de 190 pays sous l’égide de l’ONU :

    - QUEL AVENIR POUR KYOTO ?

    Faute d’un accord global, impossible à trouver à Copenhague fin 2009, le protocole de Kyoto, qui s’applique depuis 2005, reste le seul traité à fixer des objectifs de réduction des gaz à effet de serre à la plupart des pays industrialisés, à l’exception notable des Etats-Unis qui ne l’ont pas ratifié.

    Sa prolongation éventuelle, à l’issue d’une première période d’engagement de 5 ans s’achevant fin 2012, revêt une portée symbolique aux yeux des pays en développement même s’il ne s’applique ni aux Etats-Unis ni à la Chine, soit les deux plus grands émetteurs de CO2 de la planète (plus de 40% à eux deux).

    L’avenir de Kyoto, non tranché l’an dernier à Cancun (Mexique), sera au coeur des débats en Afrique du Sud. Plusieurs pays industrialisés —Japon, Russie et Canada— s’opposant à de nouveaux engagements sous Kyoto, l’Union européenne (avec peut-être la Norvège et la Suisse) apparaît aujourd’hui comme la seule à pouvoir maintenir actif un traité qui ne couvre déjà plus aujourd’hui que moins de 30% des émissions globales.

    - UN CADRE JURIDIQUE PLUS LARGE A MOYEN TERME ?

    En échange d’une seconde période d’engagement sur Kyoto, l’Union européenne souhaite que la conférence de Durban permette de poser les bases d’une feuille de route impliquant toutes les grandes économies —Etats-Unis et Chine en tête— pour aller vers un cadre contraignant global qui pourrait être signé à l’horizon 2015.

    L’Australie et la Norvège ont déposé également une proposition dans ce sens. La position des Etats-Unis et de la Chine, peu enclins jusqu’ici à prendre des engagements contraignants dans le cadre international, sera déterminante.

    - QUELS FINANCEMENTS ?

    A Copenhague, en 2009, les pays industrialisés se sont engagés à mobiliser 100 milliards de dollars par an d’ici 2020 pour les pays plus pauvres. Une partie de ces fonds doivent transiter via un Fonds vert, dont l’architecture a été dessinée l’an dernier à Cancun mais qui, doit, selon le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon, devenir plus qu’une coquille vide. Récemment, les Etats-Unis ont émis des réserves sur la question de la personnalité juridique de ce Fonds, souhaitant qu’il soit adossé à des organismes existants comme la Banque mondiale.

    Durban ne devrait pas permettre de progresser énormément sur les sources possibles de ces 100 milliards promis, les idées sur la table étant des taxes sur les transports aériens et maritimes ou sur les transactions financières.

    Plus pressante apparaît la question des montants que pourraient mettre sur la table les pays riches à partir de 2013, à l’issue d’une période 2010-2012 dite de Fast start (départ rapide) durant laquelle 30 milliards de dollars doivent être versés pour la lutte contre le réchauffement climatique. Et du rythme qu’il faudra suivre pour atteindre ces fameux 100 milliards en 2020.

    - COMMENT METTRE EN OEUVRE LES ACCORDS DE CANCUN ?

    Outre la question du Fonds vert, Durban doit permettre d’avancer sur différents points actés l’an dernier à Cancun, notamment sur les sujets d’adaptation (mesures à mettre en oeuvre pour faire face aux effets du changement climatique), l’aide technologique aux pays en développement et le développement des mécanismes permettant de lutter contre la déforestation, source importante d’émissions de gaz à effet de serre.
    AFP

    Commentaire personnel
    L’euro a été originellement créé pour contrer le pétro-dollard...mais concrètement, la politique économique du monde est copié sur le modèle américain, qui contrôle également la Banque Mondiale ! Alors au lieu de copier l’exemple du + endetté qui continue à s’enfoncer de + en + dans les inéquités et les injustices, il serait temps pour l’Europe de prouver sa résistance constitutionnelle aux USA, avant d’être engloutie par 1 Chine de + en + vorace, et qui se réjouit de la crise actuelle. Faut arrêter de se leurrer, tant que les grosses fortunes et les transactions financières ne sont pas taxées + conséquemment, le paupérisme des populations croitra de + en +, ainsi que la colère et la violence ! J’accuse la Commission européenne d’être déjà assez corrompue, pour avoir permis la situation actuelle ! Croyez vous qu’elle n’était pas au courant des agissements de Goldman Sachs, entre autres ?! Et quels sont les coûts des congrès, études et autres tournages en boucle des questions posées depuis des années ? 2013 pour que les riches mettent leurs mains à leurs poches, 2015 pour une signature hypothétique, 2020 pour encore d’autres prochains délais ? De qui se moque-t-on ? Les pays composants de l’Europe, tombe 1 par 1 dans l’endettement, à 1 vitesse grand V. Ils n’arrivent même pas prévoir pour 2012, et essaient de bluffer pour cacher leurs incapacités de gestion des budgets nationaux respectifs !
    Darna

    21.11 à 16h40 - Répondre - Alerter
  • La lumière dans les villes sur les arbres ,merci nos amis Espagnols,mais pensez-vous qu’il faut aussi mettre des chandelles dans les cœurs des États et gouvernants pour se pencher sur les plages polluées ,les forets défrichées ,les oiseaux massacrés....Et surement sur les pauvres, les SDF ,les femmes et les enfants qui sont les premières victime d’un développement farouche ,d’une démocratie absente et d’un déséquilibre sociétal menant les uns a être massacrés par un "Printemps" pour des résultats de désert...
    Mais merci quand peut être la lumière de rue réduit l’obscurité des cœurs , l’insécurité des âmes et l’avenir des HOMMES...
    A.Khemili

    21.11 à 09h44 - Répondre - Alerter
  • Lumineuse initiative où solidarité rime avec beauté...ça me rappelle lorsque, encore enfant, les fêtes se faisaient avec des hauts parleurs sur les palmiers, pour convier à danser et à partager les festivités, dans les campagnes environnantes. Cependant qu’ à Phnom Penh ( Cambodge), ils essayaient de se la "péter" à la chinoise, via les feux d’artifices, ou à l’occidental, via les ampoules du capitalisme...Au fait, les loupiottes sont dotées de quoi, SVP ?

    17.11 à 15h21 - Répondre - Alerter
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