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8-07-2011
Mots clés
Technologie
Climat
Monde

136 kg d’équivalent CO2

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(Crédit photo : comedy_nose/ Flickr)
 
C'est la quantité annuelle de gaz à effet de serre qu'émet un salarié moyen en envoyant des mails dans le cadre professionnel.
Le Baromètre de cet article
ÉCOLOGIE SOCIÉTÉ ÉCONOMIE
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Le courrier électronique pollue-t-il plus que la lettre papier ? Pas forcément, réponde l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (ADEME). Mais vu le rythme effréné auquel ils s’échangent – pas moins de 247 milliards de mails envoyés et reçus chaque jour en 2009, à travers le monde – la question de leur poids environnemental se pose.

C’est l’un des axes du dernier rapport de l’ADEME, qui explique aussi pourquoi il peut être préférable d’imprimer un document plutôt que de le lire sur un écran. À la base de l’étude, plusieurs indicateurs dont l’impact climat, qui calcule la consommation d’énergie liée à la fabrication et au fonctionnement du matériel ; et l’impact consommation de matières premières, notamment de métaux rares.

Zoom sur quelques recommandations :

  • Diminuer de 10 % l’envoi de mails par salarié, c’est faire un premier pas pour sauver la planète. Actuellement, avec 58 courriels reçus et 33 envoyés chaque jour par un salarié moyen, l’échange de mails au sein d’une entreprise de 100 salariés correspond en un an à 13 allers-retours entre Paris et New York.
  • Réduire également le nombre de destinataires de ces messages électroniques. Les résultats de l’étude montrent en effet qu’en décuplant le nombre de destinataires, l’impact sur le changement climatique est multiplié par 4.
  • Préciser au maximum sa recherche, lors d’une requête sur le web. Et saisir directement l’adresse d’un site dans la barre de navigation, dans la mesure du possible. Cela permettrait selon l’Ademe d’éviter chaque année l’émission de 5 kg d’équivalent CO2 par internaute.
  • Enfin, il vaut mieux imprimer un document dont la lecture demande plus de deux minutes que le parcourir numériquement – oui, oui, vous avez bien lu. L’Ademe a en effet calculé le « point d’équilibre » au-delà duquel la lecture d’un document numérique a plus d’impact sur le potentiel de réchauffement climatique qu’une impression. A condition toutefois de régler son imprimante sur du noir et blanc, en mode recto/verso et en échelle réduite.
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